Chapter 3 Guide de référence du SGBD


Exploration de la catégorie Script

La catégorie Script ne contient que les entrées suivantes :

Instructions de génération et de reverse engineering

La catégorie Script contient des instructions DDL (Database Description Language) utilisées pour la génération de script et la génération ODBC ainsi que pour le reverse engineering de script.

Par exemple, l'instruction standard pour créer un index est la suivante :

create index %INDEX%

Toutefois, les valeurs d'instructions varient d'un fichier de définition à l'autre en ce qui concerne la syntaxe de SGBD et les fonctionnalités spécifiques. Par exemple, dans Oracle 9i, l'instruction de création pour un index contient la définition du propriétaire de l'index car Oracle 9i prend en charge les propriétaires d'index:

create [%UNIQUE%?%UNIQUE% :[%INDEXTYPE% ]]index [%QUALIFIER%]%INDEX% on [%CLUSTER%?cluster C_%TABLE%:[%TABLQUALIFIER%]%TABLE% (
   %CIDXLIST%
)]
[%OPTIONS%]

Les autres instructions incluent notamment :

Instructions Modify

Ces instructions sont utilisées lors d'une modification de base de données, afin de modifier les attributs d'objets existants. Elles peuvent être aisément identifiées car la plupart d'entre elles commencent par le mot "Modify". Par exemple ModifyColumn est l'instruction utilisée pour modifier une colonne.

Toutefois, toutes ces instructions ne commencent pas forcément par Modify, par exemple Rename ou AlterTableFooter.

Les instructions de création d'une clé peuvent également être particulières en fonction de l'endroit où la clé est définie : si elle se trouve dans la table, elle sera créée à l'aide d'une commande de génération. Si elle est créée hors de la table, elle sera créée à l'aide d'une commande de modification portant sur la table.

Eléments de définition de base de données

La catégorie Script contient également des éléments associés à la définition de base de données. Il ne s'agit pas d'instructions et elles ne sont pas utilisées lors de la génération ou du reverse engineering, mais plutôt dans le cas d'une personnalisation de l'interface et du comportement de PowerAMC en fonction des fonctionnalités de base de données.

Par exemple, l'élément Maxlen dans la catégorie table doit être défini conformément à une longueur maximale de code tolérée pour une table dans la base de données courante.

Permission, EnableOwner, AllowedADT sont d'autres exemples d'éléments définis pour adapter PowerAMC au SGBD courant.

Requêtes de reverse engineering ODBC

La plupart des requêtes de reverse engineering ODBC commencent par "Sql", ce qui permet de les identifier facilement. Par exemple, SqlListQuery est la requête utilisée pour extraire une liste d'objets, ou SqlOptsQuery est la requête utilisée pour procéder au reverse engineering d'options physiques.

Pour plus d'informations sur les requêtes de reverse engineering ODBC, reportez-vous à la section "Reverse engineering ODBC".

 


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